Attention, cet article n’est publié qu’à titre informatif, rien de plus (les Backlink, c’est le mal !). Vous utiliserez ces connaissances à vos risques et périls. Ici, on va regarder ce qu’on peut faire pour trouver de bons spots de liens, en étudiant tranquillement ceux de ses concurrents. Il y a un double avantage à cela : le premier, c’est le backlink en lui-même, et le second, c’est de trouver des stratégies marketing et SEO qui marche. Si vos concurrents y arrivent, vous pouvez le faire aussi ! Collecter de bons backlinks, c’est un excellent moyen de ranker, mais attention de récupérer les bons liens, et pas du liens de mauvaise qualité (si vous voulez plus d’infos sur l’optimisation seo sans risquer la pénalité, vous pouvez aller plus loin en consultant cet article de supref).
Collecter des données
Le point de départ, évidemment, c’est de collecter suffisamment de données pour avoir une bonne base de travail. L’opérateur « link : » étant devenu obsolète, il va falloir passer par un autre outil, comme Ahrefs, Semrush ou Open Site Explorer. Perso, je suis sur SEO profiler, à mon sens le meilleur rapport qualité-prix du marché. En rentrant l’URL de votre concurrent dans un de ces outils, vous aurez une liste complète des liens qui pointent vers leur domaine.
Des liens, oui, mais lesquels ?
Il y a le bon lien, et le mauvais lien. Pour faire simple. Qu’est-ce que vous pourrez trouver dans ce profil de lien ?
- du communiqué de presse
- du commentaire de blog
- de la signature du forum
- du lien éditorial
- des bookmarks
- les annuaires
- du lien sitewide en sidebar ou planqués au-dessous du footer
Donc, en gros, du lien spammy, ou du lien de qualité. La seconde chose que vous aurez à faire, c’est donc de trier le bon grain de l’ivraie, toujours en utilisant l’outil que vous avez choisi pour créer ces profils de lien. Tant qu’à faire, essayez de copier les profils des concurrents qui sont devant vous, car s’ils sont devant, c’est très probablement que leurs liens leur envoient plus de jus (oui, oui, je sais, il n’y a pas que ça qui compte, mais quand même…).
Identifier les bons spots
Une fois que vous aurez fait le tri entre lien spammy et les bon liens, il faudra dresser une petite carte des spots juteux, et pondérer tout ça avec un niveau de difficulté estimée. Le spot parfait, à ce stade, c’est le lien facile à obtenir et qui envoie beaucoup de jus (là, vous pensez tout de suite à une licorne). Un lien de qualité, en général, ça n’est pas si facile à obtenir. Il va donc falloir développer une véritable stratégie éditoriale et de partage de contenu pour générer le pont d’or sur lequel Googlebot s’engagera. Commencez par analyser les liens éditoriaux que vos concurrents ont obtenus, et visez des articles qui ont plus d’un an. Si le sujet est dans l’air du temps, il vous suffira de rédiger quelque chose de mieux (réactualisées, plus long, plus pertinent, avec des médias ou des infographies plus intéressantes etc.). Et puis, derrière, il faudra contacter les webmasters des spots pour proposer une publication. En gros, faire du guest blogging sans en avoir l’air…
Trouver des partenariats
J’étais en rendez-vous avec un client il y a quelques jours, et nous regardions ce que nous pouvions faire pour améliorer justement son profil de lien. La première chose que nous avons faite, c’est précisément de regarder ce que son principal concurrent avait dans son arsenal : il n’y avait pratiquement que des citations liées à du sponsoring. Ici, dans son cas, c’est la meilleure solution : allez toujours au plus simple, ou au moins coûteux. Un sponsoring, c’est un partenariat officialisé, et dont l’objectif principal n’est pas la création de Backlinks (pourtant, c’est bien ce qu’on finit par obtenir). Ici, nous faisons d’une pierre-deux coups : on obtient un lien, on accroit sa notoriété, on obtient du referal, on génère du trafic etc. En fonction de la niche dans laquelle vous vous situez, il est parfois plus facile qu’on ne le pense d’obtenir de bons liens, et il n’en faudra pas forcément des centaines pour gratter quelques positions dans les SERP.